Salut, moi c’est Alexandre.
Je suis développeur d’applications mobiles à temps plein, et depuis quelques années maintenant, je consacre une bonne partie de mon temps libre au triathlon. Comme beaucoup, j’ai commencé par curiosité, j’ai accroché, j’ai souffert, et j’y suis revenu. Encore, et encore.
Aujourd’hui, j’ai un objectif clair : me qualifier pour les championnats du monde Ironman 70.3.
C’est ambitieux, mais c’est justement ce genre de défi qui me pousse à progresser, à mieux m’organiser, à mieux m’entraîner, et à mieux me comprendre.
Pourquoi ce blog ?
Parce que le chemin vers un objectif comme celui-là est long, sinueux, imparfait, souvent frustrant mais toujours riche d’enseignements.
Ce blog, c’est mon espace pour faire le point. Un journal de bord pour :
- partager mes erreurs, mes tests, mes réglages,
- garder une trace concrète de ce qui fonctionne ou pas pour moi,
- réfléchir à ce que je peux améliorer course après course,
- et peut-être, en chemin, échanger avec d’autres qui vivent les mêmes questionnements.
Je ne suis pas coach, je ne suis pas pro, je ne prétends pas avoir la vérité. Je partage ici mon vécu, en espérant que certains y trouvent des idées ou du recul pour leur propre pratique.
Point de départ : Westfriesland 2025 — mon record… et ma plus grosse série de galères
J’ai décidé de lancer ce blog en partant de ma dernière course : le triathlon Ironman 70.3 de Westfriesland, que j’ai terminé en 4h37, soit mon record personnel sur la distance.
Mais ce chrono ne raconte pas tout. Parce que cette course, c’était aussi :
- une natation chaotique (et une paire de lunettes perdue dans les premières minutes),
- un bidon tombé puis ramassé sur le vélo, suivi de la perte de mon dossard et de mon porte-dossard,
- une chaussure cassée en descendant du vélo,
- une course à pied compliquée, entre vent de face et ravitaillements mal digérés.
Bref : pas un enchaînement parfait. Et pourtant un chrono dont je suis fier (et un peu frustré quand même) — justement parce que je sais à quel point il est améliorable.
Et maintenant ?
Ce genre de course met en lumière tout ce qu’il reste à travailler : le matos, la gestion, les transitions, l’alimentation, la préparation mentale… et même le plan B quand tout ne se passe pas comme prévu.
C’est exactement ce que j’ai envie de documenter ici.
Pas des recettes toutes faites. Pas des tutos à la chaîne. Juste mes essais, mes erreurs, mes ajustements, dans un format honnête et structuré.
Si tu es triathlète amateur qui aime se challenger, ou simplement curieux de voir comment on construit une progression dans un sport aussi complet : welcome, j’espère pouvoir t’apporter quelque chose en te racontant mes histoires.